1/Qu'est ce que le
capitalisme ?
Spéculateur et marchand, producteur, état de personne qui possède des richesse,
intérêt des capitaux, se sont de multiple mot et définition associé ou attribué
au terme «capitalisme» par les premiers théoriciens t'elle que Karl Marx, Alain
Rey, Ricardo, il faut attendre 1842 pour que le mot capitalisme finisse par
définir un régime socio-économique ou le capital m'apparient pas a ceux dont le
travail produit des richesses mais à un nombre restreint de capitalistes, qui
détiendraient de ça fait tous les pouvoirs.
Le capitalisme naît et se nourrit de l'échange: il n'est donc
rien d'autre que l'économie de marché, et comme tel, vieux comme le monde. Il a
cependant connu une formidable accélération au 18 éme siècle, avec
la révolution industrielle. La mondialisation en marque une nouvelle et
formidable évolution, les échanges se réalisant désormais à l'échelle de la
planète.
Ce capital qui 'est la force qui augmente la
productivité de la main d'œuvre et crée la richesse des nations et qui est
l'essence même des sociétés humaines, comment peut on distingué ce possesseur
de capitaux des riches marchands de la renaissance ou des antique propriétaires
d'esclave qui étaient bien pourtant un capital.
2/Le capitalisme est-il le moteur de l'histoire ?
Si l'économie de marché est l'essence même du
capitalisme la révolution industrielle en a été le plus fulgurante des
accélérateurs, avec l'introduction de la machine, le seul et l'unique symbole
de cette modernité, d'un coté.
D'un autre coté, il se reconnaît à ce qu'elle n'aide
pas seulement le travail humain, mais a ce qu'elle le supprime et le remplace.
Pour l'Europe occidentale la machine été la
puissance créatrice du capital, le grand principe de la modernité, d'une part,
puisse qu'il assure le triomphe de l'occident productif sur le reste du monde,
d'un autre part l'extension du paupérisme, une nouvelle classe de travailleur
limités dans leur salaire au prix des objets indispensables à leur survie.
3/Pourquoi capitalisme et libéralisme
sont–ils liés ?
Le libéralisme au sens
économique du terme n’est rien d’autre que la mise en forme d’une réflexion
théorique sur l’évolution de l’économie de marché.
Pour accéder au
libéralisme, il faut répondre à cette triple interrogation :
-Comment se fait-il
qu’une communauté où chacun recherche activement son intérêt puisse ne pas se
disloquer sous l’effet de cette force centrifuge ?
-Qu’est ce qui guide
les affaires personnelles qu’elles soient conformes aux besoins du groupe ?
-Comment la société
peut-elle accomplir les taches nécessaires à sa suivie sans autorité centrale
pour planifier et sans tradition millénaire pour stabiliser ?
Adam Smith a fournis
des réponses suffisent à distinguer l’optimisme libérale du pessimisme marxiste
; Le jeux de l’intérêt personnel conduit à la concurrence ; or la concurrence
amène à produire les biens que désire la société Et selon Adam Smith, c’est la
concurrence qui doit empêcher les individus avides de rançonner la société de
façon exorbitante.
Et qu’avec Adam Smith
qu’on a retenu l’apologie de la division du travail, et comme il a dit que la
faculté d’échanger qui donne lieu à la division du travail qui doit toujours
être limité par l’étendue du marché
On peut résumer que
l’intérêt individuel, le droit de propriété, la concurrence, le marché étaient
et restent pour les libéraux le moteur du progrès.
4/Riches et pauvres: le capitalisme creuse-t-il les inégalités ?
Le postulat était simple: ce qui caractérise la
production capitaliste, c'est l'irrégularité de son cours. Expansions et
contradictions, progrès soudains suivis de lentes périodes de stagnation.
La question économique essentielle est de savoir quel
sera le sort des différentes parties du revenu national. Résultat: une part de
plus en plus grande du produit reviendra à la bourgeoisie et à son
gouvernement, d'autre part il y a aggravation non pas relative, mais absolue de
la classe ouvrière.
Par ailleurs l'épanouissement de l'économie de
marché s'est accompagné globalement d'un formidable progrès du niveau de vie, à
l'échelles mondiale, et d'une formidable réduction des inégalités au échelles
national,cela ne signifie pas bien sur, la disparition de la pauvreté, mais la
question de sa réduction relève plus de la volonté politique des gouvernement
et de la capacité des sociétés a entretenir une solidarité à la mesure de la
richesse créée que des entraves portées à l'économie de marché.
5/ la mondialisation est-elle le stade suprême du capitalisme ?
Dans la "longue marche" de l'histoire, la
mondialisation n'est pas une nouveauté, elle est simplement la formidable
extension de l' "économie du
marché" à l'échelle du mande, accompagnée d'une formidable croissance du
pouvoir d'achat des habitants du monde d'une coté, d'un autre coté, la
mondialisation s'accompagne d'une dégradation de l'environnement, l'épuisement des
ressources non renouvelables … ,
ce qui rendent à juste titre .
ce qui rendent à juste titre .
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